Et on dit que les gens sont civilisés.....
Et oui c’est ça l’Europe ! on fait des affaires ensembles mais on ferme les yeux sur les sal*peries de chacun. Un peu comme avec les dictatures Asiatiques.....DANEMARK : UNE HONTE- Spoiler:
Détail important : ce petit pays, connu sous le nom "d'Iles Féroé», fait partie de la Communauté européenne, puisqu’il dépend directement de l’état du Danemark.
Cette ancienne colonie Viking se situe en plein océan, entre l'Ecosse et l'Islande.
Elle est aujourd'hui le théâtre de l'une des chasses sans doute les plus barbares jamais commises par l'Homme sur une espèce non-humaine.
Chaque année, près de
1.500 globicéphales, ces paisibles et sympathiques cétacés à peau noire, sont rabattus vers des baies où les attend une bande de tueurs ivres de sang et de bière forte, qui les massacrent juste pour le sport, au nom de traditions datant du Moyen Age.
Les insulaires, au volant de leurs hors-bord ultra-rapides, poussent dans un premier temps les cétacés vers une baie le long des côtes. Cette chasse peut durer longtemps, cela fait aussi partie du plaisir !
Epuisés, terrifiés, hagards, les globicéphales sont progressivement amenés vers des zones de moins en moins profondes. Et c'est là que la vraie fête commence.
Les habitants de Iles Féroé plongent à de multiples reprises leurs gaffes de métal lourdes de plus de 2 kilos dans la chair palpitante des malheureux cétacés, jusqu'à ce que le croc s'accroche.
Une fois l'animal bien arrimé aux flancs de l'embarcation, un couteau long de 15 centimètres est enfoncé dans sa nuque à travers la couche de graisse et la chair. Les artères et les centres nerveux sont atteints : la mer rougeoie du sang des baleines qui hurlent de douleur et finissent par mourir... plus ou moins vite, selon la dextérité de leur assassin.
Rappelons-le une fois encore, ceci se passe en Europe chaque année, à quelques encablures de la France et de l'Angleterre.
Peu nous importe, quant à nous, si les globicéphales nagent encore - mais jusques à quand ? - en troupes importantes dans les eaux de l'océan. Peu nous importe que ces chasses constituent une tradition locale, comme a pu l'être le cannibalisme en Papouasie et comme le sont encore la corrida, la chasse à cour ou la tenderie...
Ce n'est pas ainsi que l'on traite les cétacés, ces êtres supérieurement intelligents sensibles dotés de systèmes sociaux, de cultures, voire de langages, d'une complexité inouïe et qui sont, de ce fait, parfaitement capables de ressentir, comme nous, la détresse, l'angoisse et le désespoir au-delà de la seule souffrance physique.