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 Un livre que j'ai commencé (et que je peine à continuer)

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Chronique
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MessageSujet: Un livre que j'ai commencé (et que je peine à continuer)   Un livre que j'ai commencé (et que je peine à continuer) Icon_minitimeJeu 2 Avr - 14:03

(Je vous offre les deux premiers chapitres, sachez qu'actuellement j'écris le quatrième et c'est long... mais ce livre là, meme (grrr encore ce bug avec l'accent) si il me faut cinquante ans, je me suis défié de le finir.)
(Disponible au format .doc ou .wps (Word ou Work))
(Ecrit avec Work)

Chapitre 1
"..."


Un étranger traverse le désert du Testrà, il est vêtu d'une robe d'un rouge sombre assortis d'une cape attachée au niveau des épaules par une sangle d'argent.
Ses cheveux longs et d'un vert émeraude sont balayés par le vent brûlant qui traverse le désert du nord au sud.
Un bandage de couleur assortis à sa robe cache son oeil gauche, il ne sourit pas, les yeux clos, il poursuit sa route sinueuse vers une destination inconnue.

Un sang noir coule sur le sable presque blanc du désert, bien vite recouvert par les grains que transporte le vent.

Il trébuche et s'étale de tout son long sur le versant d'une dune, il se relève, pivote sur sa gauche et continue son chemin, laissant quelques marques éphémères de son passage dans ce lieu écrasant.



Chapitre 2
"Gyrf'Vaend"


Zak se réveilla en sursaut, et passa la main sur son front, le soleil n'était pas encore levé, un vent frais balayait la chambre du deuxième étage d'une petite maison situé à Tarbi, un petit village non loin d'Urengar la capitale d'acier du royaume humain.
Cela faisait maintenant cinq ans que le roi Agislo était au pouvoir; cinq ans de paix après une guerre civile contre Ystir le roi tyrannique. Une guerre extrêmement sanglante qui avait durée dix ans et qui avait causé la mort de nombreux humains et quelques elfes présents dans le royaume. Depuis la fin de cette guerre, par un accord unique entre le peuple et le nouveau roi Ystir, le pouvoir des rois est limité par quelques conseillés élus par le peuple.
Zak était un jeune homme de 15ans. Il avait la peau assez claire, vivait paisiblement avec son père et sa mère. Il avait également des cheveux noirs et des yeux ronds d'une magnifique couleur verte.
Il saisit la couverture et la ramena jusqu'à son épaule, il savait qu'il n'arriverait pas à se rendormir, c'est pourquoi il repensa à ce rêve étrange qu'il venait de faire. Le rêve lui avait paru si réel, qu'il doutait que ce soit seulement un rêve, mais dans ce cas, qui était cet homme? Que faisait-il au beau milieu du Testrà? Personne n'avait encore oser le traverser, à l'exception d'une ou deux personnes qu'on avait jamais revus...
Pourquoi son sang était-il noir? Serait-il un démon? Non, il n'en avait pas l'air...
Pourquoi? Pourquoi? Que de questions sans réponse. Il se résolu finalement, n'arrivant toujours pas dormir à préparer le petit déjeuner.
La maison n'était ni bien grande, ni vraiment petite, il ne mit que quelques minutes pour arriver à la cuisine, son père s'y trouvait déjà, une poêle à la main, une spatule dans l'autre, il cuisait deux oeufs au bacon au dessus du feu de bois allumer sans doutes quelques minutes plutôt.
- Tu es déjà réveillé? s'étonna-t-il.
Il réfléchis un instant. Devait-il raconter son rêve ou non. Son père l'écouterai sérieusement mais mettrait ça sur le compte de son imagination, rien de plus.
Il décida de ne rien dire.
- Je n'arrivai plus à dormir, et toi?
- J'avais faim.
Au moins la réponse avait le mérite d'être claire!
- Et tu as de la chance que j'ai cuisiné assez pour nous deux! compléta-t-il, avec un sourire énorme.
- Merci p'pa, répondit Zak en lui rendant son sourire. Tu ne prépares rien à maman?
Il désigna un meuble à tiroir où étaient ranger tous les ustensiles de cuisine, sur le meuble se trouvaient un oeuf et un bol contenant une bonne poignée de bacon.
- D'ici à ce qu'elle se lève, le plat sera froid, je préparerais ce qu'il faut le moment voulus!
- Tu as raisons, suis-je bête!
- Ne dis pas ça...
Ils mangèrent en silence leurs repas ni vraiment grandiose, ni vraiment pauvre. Lorsqu'ils eurent finis, Zak saisis les assiettes et alla faire la vaisselle. Lorsqu'il eut finis, il demanda à son père si il pouvait sortir un peu, insinuant qu'il avait besoin de s'aérer l'esprit, ce qui n'était pas totalement faux. Son père répondit qu'il avait quartier libre pour toute la journée, lui conseillant aussi d'aller faire un crochet chez Hior qui avait quelque chose à lui dire. Zak salua une fois son père puis sortit en direction de la maison d'Hior.

Il ne tarda pas à trouver la maison qu'il cherchait, elle se situait en périphérie du village construit au fil du temps d'une façon désordonnée, aucune maison n'était alignée, les routes étaient tordues et sinueuse, mais assez grande pour s'y tenir à quatre de front. Lorsqu'il arriva devant la maison, Hior l'attendait, un sourire radieux étirant ses lèvres. Hior était l'un des cinq conseillés du chef du village, il été le premier informé de tout problème ou rumeur, c'était parfois à se demander comment faisait-il. Il été de taille moyenne à l'échelle de sa maison, vivait seul et paisiblement. Il était le meilleur ami du père de Zak qui recevait souvent des cadeaux de sa part, il était comme un parrain qu'il n'avait pas eu...
- Bonjour Zak, comment vas tu? demanda-t-il lorsque Zak fut assez près pour entendre.
- Bien, et toi Hior? Tu as quelque chose à me dire?
Zak posait la question, même si il devinait aisément la réponse
- Je vais très bien, tu te souviens, tu voulais accéder à l'école des guerriers du village, n'est-ce pas?
Sans attendre de réponse il enchaîna :
- J'ai réussis à t'inscrire, tu commences cet après midi!
Enfin, cela faisait plus d'un mois qu'il espérait intégrer cette école!
- Merci Hior, tu es vraiment le meilleur! s'exclama Zak, ivre de joie. Mais,... il me manque un équipement, de quoi vais-je avoir l'air face aux autres?
- Je savais que tu allais dire ça, tiens, je t'ai préparé une épée en bois pour débuter et un bouclier de cuir.
Il lui tendit une épée de bois assez bien taillée, légère et maniable, et un simple bouclier de bois sur lequel on avait tendu quelques lambeaux de cuir. L'ensemble était simple et basique, mais il s'en contenterait, c'était déjà un magnifique cadeau. Pourquoi demander plus? Il saisit les deux objets et s'en équipa, l'ensemble allait bien avec sa tunique brune.
Aujourd'hui, il n'avait pas coiffé ses cheveux, se qui lui donnait une coupe un peu en bataille, mais qui lui allait très bien. Il essaya d'avoir l'air le plus guerrier possible, mais ne réussit qu'à faire éclater Hior de rire.
- Haha, s'était censé être un guerrier farouche? Arrête ça tout de suite, cela ne te va pas du tout!
Zak grimaça, il rêvait de devenir un puissant guerrier, aussi puissant que Gyrf'Vaend.
Gyrf'Vaend était le plus puissant guerrier du village, il dirigeait une école de guerrier que Zak venait d'intégrer grâce à Hior. Tout le monde disait qu'il était le plus puissant guerrier au monde, et qu'il devrait intégrer la garde d'élite du roi. Il avait déjà reçus des invitations pour le devenir, mais toujours il refusait! C'était un guerrier à la peau mat et aux cheveux attachés en une longue queue de cheval, il était toujours armé d'un énorme sabre d'acier attaché à son dos qu'il gardait nu par soucis de mobilité. A la vue de ses muscles énormes et saillant, on disait de lui qu'il pouvait fendre un rocher rien qu'avec le plat de la main!
Zak était aux anges et rêvait de sa première séance avec le maître Gyrf'Vaend, pouvoir s'entraîner avec le meilleur, on ne peut pas rêver mieux!
Il s'apprêtait à partir lorsque Hior l'interrompis:
- Yezel te cherche, tu devrais voir ce qu'il a, déclara Hior.
- J'y vais tout de suite, promit-il.
Et il partit en courant, fou de joie.
Yezel était le meilleur ami de Zak, il rêvait de devenir un puissant mage blanc, il projetait de quitter le village l'année suivante pour aller à la capitale apprendre la magie guérisseuse. Il avait les cheveux mi-longs d'un noir pur reflétant merveilleusement bien l'éclat du soleil, une robe blanche aux manches larges et possédait d'ores et déjà un bâton léguer de parents à enfants. Ses yeux en amande tout aussi noirs que se cheveux pétillaient d'intelligence et malgré son apparence chétive, Zak s'avait qu'il pouvait courir sur de très longues distances sans s'arrêter ni s'essouffler. Cela lui rappela le jour ou ils avaient affronté une bande de fils de gitans de passage dans le village, mais la bagarre a vite alerté les gitans. Zak et Yezel avaient du prendre la fuite, pour rejoindre la maison d'Hior à l'opposé des baraques des gitans. Ils avaient parcourus plusieurs centaines de mètres, coupant par les toits à certains moments pour être hors de vue. En moins de dix minutes, ils avaient parcourus une distance considérable malgré le nombre impressionnant de détours qu'ils avaient du faire!
Personne ne les avaient retrouvés, et, ils en étaient sur, plusieurs jeunes avaient du compter de nombreux bleus le soir là!
Il retrouva Yezel dans leur point de ralliement au milieu du village, dans un bâtiment abandonné, d'apparence miteuse à l'extérieur, ils en avaient fait un lieu magnifique pour deux jeunes comme eux! Il était assis sur un canapé du premier étage, vêtu comme à son habitude de sa magnifique robe blanche. Le premier étage était un simple salon, avec plusieurs sofas et canapés usés mais moelleux, une table et plusieurs chaises de bois. Sur le mur du fond été accroché un calendrier annuel, rappelant qu'une année durée trois cents jours, soit dix mois divisés en cinq saisons.
Les dix mois étaient dans l'ordre : Nak, Vohon, Sasu, Weo, Ert, Tysta, Polanis, Jiuka, Seni et Mok. Chaque saison durait deux mois et représentait un élément, Verino étaient la saison du feu représentée par les mois Nak et Vohon.
Walwindy était la saison du vent représentée par les mois Sasu et Weo. Terista était saison de la terre représentée par les mois Ert et Tysta. Anukwa était la saison de l'eau représentée par les mois Polanis et Jiuka. Pour finir Ivana était la saison de lumière représentée par les mois Seni et Mok.
Aujourd'hui, 20ème jour de Ert, un jour pas comme les autres, pensa intérieurement Zak.
Le garçon passa le seuil du repère, Yezel se leva, lui serra la main et déclara :
- Salut Zak, j'ai appris la nouvelle, tu vas t'entraîner avec Gyrf'Vaend? demanda-t-il sans laisser à Zak le temps de répondre. C'est génial, tu pourras lui demander s'il me connaît? Merci! Enfin, ce n'est pas pour ça que j'ai demandé à te voir, tu te souviens de mon pendentif blanc? Celui que je portais il y a deux jours. Je l'ai perdu... je pense l'avoir laisser tomber sur un toit près de l'école de guerrier...
Zak ne lui laissa pas continuer, il avait complètement oublié que la bouche de Yezel fonctionnait encore plus vite que son cerveau déjà bien rapide. L'interrompant il déclara :
- Alors, premièrement je doute qu'il te connaisse, ensuite il a d'autre personne à s'occuper que moi! Pour ton pendentif, oui je m'en souviens le blanc avec les trois armes croisées, c'est celui la? Je t'aiderai à le récupérer, mais là je dois aller m'entraîner, comme tu l'a dit avec Gyrf'Vaend, le guerrier légendaire! C'est mon premier entraînement, il ne faudrait pas que je le loupe! Désoler, mais il faudra attendre la fin de l'entraînement.
- Oui c'est bien celui là, mais...
- Pas le temps, le coupa-t-il. L'entraînement commence dans cinq minutes, et la salle se trouve plus au sud! Vois le bon coté des choses dès que la séance est finie, on pourra aller le chercher!
Et il sortit sans laisser à Yezel le temps de réagir.
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MessageSujet: Re: Un livre que j'ai commencé (et que je peine à continuer)   Un livre que j'ai commencé (et que je peine à continuer) Icon_minitimeJeu 2 Avr - 14:04

Il courut rapidement, coupant par les toits pour éviter les petites ruelles étroites qui sillonnaient le village. Il arriva rapidement devant la salle d'entraînement situé au sud du village, elle était massive et simple, des murs de pierres nus étaient surplombés d'un toit de taule noire. Une porte massive d'un bois dur séparait l'intérieur de l'extérieur, et sur le mur opposé une deuxième porte menait à un terrain d'entraînement en plein air pour les jours de beau temps comme aujourd'hui... Sur les deux portes étaient fixés des heurtoirs de fer représentants des marteaux frappant des boucliers.
Zak déglutit devant l'aspect à la fois simple et puissant du bâtiment, il avança de quelques pas et frappa à la porte, qui s'ouvrit docilement révélant Gyrf'Vaend, le grand guerrier était comme à son habitude vêtu légèrement, le torse nu, les cheveux attachés en queue de cheval, une énorme épée toute d'acier, sans aucun ornement inutile, barrait son dos. Tout montrait en lui sa façon de combattre, aucun objet inutile, il ne jouait pas avec son adversaire, et mettait un terme aux affrontements le plus rapidement possible par sa force brute plutôt que de tourner autour du pot indéfiniment.
- Bonjour, s'exclama le grand guerrier d'une voie grave et dure, tu dois être Zak, viens nous avons déjà commencé!
Gyrf'Vaend se tourna et ouvrit largement la porte pour que Zak puisse passer, le hall était illuminé par de puissantes torches et était construis comme l'extérieur, à la différence près que le sol était recouvert de dalles de pierre grises reflétant la lumière des mini fournaises accrochés au mur.
Le puissant guerrier désigna la porte au fond de la salle de son bras musculeux.
- Nous nous entraînons dehors aujourd'hui, expliqua-t-il. Il fait un temps trop magnifique pour rester à l'intérieur!
Il le conduisit à l'extérieur, dans un vaste terrain plat, d'autres jeunes s'entraînaient déjà en duel dans des espaces improvisés, écartés entre eux pour ne pas frapper les membres d'un autre groupe par inadvertance, tous portaient une épée de bois similaire pour qu'ils soit tous à égalité sans favorisé les plus riches, ni risquer de blesser les plus faibles.
Gyrf'Vaend examina les combattants, donnant des conseils tel que << Plus haut la garde! >> ou << Plus vite, les jambes plus souplement ancrés sur le sol! >>, et tout le monde l'écoutait du mieux qu'il pouvait. Après avoir réfléchis quelques secondes, il déclara à Zak :
- Les groupes sont déjà formés, et tu te retrouves sans partenaire pour t'entraîner... Et j'aimerai ne pas avoir à former un groupe de trois personnes.
Il se tut un instant, et d'un seul coup une lueur d'amusement illumina ses yeux, et il ajouta :
- J'ai une idée, dégaine ton épée, je vais tester ton niveau moi même.
Zak crus d'abord à la plaisanterie et voulut rigoler, mais voyant la mine très sérieuse du grand guerrier, il déglutit et détacha son épée qu'il avait passée à son coté après l'avoir reçus. En quelques secondes, les regards jaloux, envieux, étonnés, et parfois les trois à la fois, de toutes les personnes présentes se braquèrent sur Zak qui déglutit encore plus difficilement. Le puissant guerrier jeta son épée d'acier quelques mètres derrière lui, elle s'enfonça dans le sol aussi simplement qu'on coupe du beurre. Il rentra rapidement à l'intérieur, prévenant que le premier à toucher son épée n'aurait que très peu de temps pour savourer la sensation avant de ne plus rien savourer du tout pour le reste de sa vie. Il laissa donc Zak seul un instant à supporter les regards des autres élève. Il revint rapidement, une épée de bois grossière, mais efficace et pas trop lourde, détermina un terrain rond de quelques mètres de diamètres en expliquant que le premier sortant de ce terrain perdait et que les morsures, griffures et autres coups bas n'étaient pas tolérés. Il leva bien haut son épée de bois et se mit en garde, Zak fit de même, savourant chaque seconde de calme avant de supporter la tempête qui se préparait en face de lui.
Sans prévenir Gyrf, Zak trouvait que ce nom était plus court et mieux adapter au grand guerrier, fit un bon gigantesque, l'épée de bois bien haute pour frapper Zak qui exécuta machinalement une roulade sur le coté, esquivant ainsi la puissante attaque. Il se releva le plus rapidement possible essayant de frapper Gyrf au coté, mais malheureusement pour lui, il était déjà bien loin, se préparant à une nouvelle attaque.
Le coeur de Zak battait à deux cents à l'heure, son cerveau marchait presque aussi vite pour trouver une méthode pour ne serait-ce que toucher son adversaire.
Gyrf ne lui laissa qu'une et unique seconde avant de repartir à l'assaut, visant les jambes du jeune homme qui esquiva d'un bond, mais dont le pied se reposa sur la lame de son adversaire qui le projeta au dessus de sa tête. Zak atterrit lourdement au sol un mètre plus loin, il avait manquer de peu de se briser la jambe et quelques autres chose comme optionnellement la colonne vertébrale... Il se retourna et para difficilement un coup bien porté au coté, Gyrf recula d'un pas et frappa en visant l'épaule. Zak s'arque bouta pour parer à nouveau le coup, mais son bras était lourd, le guerrier n'y allait pas de main morte, aucune expression n'était visible sur son visage, empêchant de deviner ses intentions. Lorsque les deux épées de bois s'entrechoquèrent, Gyrf eut un sourire, mais Zak ne pu jamais savoir si c'était un sourire d'amusement, de rage farouche ou simplement de félicitation envers la manière dont combattait Zak; tout ce dont il se souvint fut que son épée s'était envolée de ses mains quelques mètres plus loin et qu'il s'était sentis flotter quelques secondes avant de rencontrer un sol trop dur à son goût, puis le vide, il s'était évanoui sous la puissance du choc.


Il rêvait à nouveau de l'homme du désert, l'homme avançait face au soleil couchant, direction plein ouest, là où se trouvait le royaume humain, le sang coulait encore plus abondamment que la première fois et étaient de plus en plus noir. Son oeil visible était toujours clos. Il paraissait si fragile. Soudain, un énorme ver du désert surgit du sable pour dévorer l'intrus, Zak éprouva quelques instants de la pitié pour l'homme fragile qui allait se faire dévorer. Il changea rapidement d'avis et plaignit désormais le ver qui en un instant avait finit tranché en deux de la bouche à la queue. Zak n'eut pas le temps de voir l'arme utilisée, l'inconnu avait été d'une vitesse hallucinante! Il reprit tranquillement sont chemin désœuvré vers l'ouest, quelques mots résonnaient dans le silence...

Linceul de ténèbre
Au plus profond de mon coeur
Linceul de ténèbre
Pour clamer mon malheur
Je suis emprisonné loin de toi
Dans le royaume d'ébène je me noie
Il n'y a plus de flèche dans mon carquois
Ma vie est vide de foi
Coeur de lumière préserve toi
Va t'enfuir loin de moi.
Dans mon malheur ne te tue pas
Linceul noir tu ne m'auras pas
Tôt où tard tes chaînes se briseront
Tôt ou tard je quitterai la prison
Noirceur d'onyx de l'au-delà
Qui pour mon coeur sonne le glas
Jamais tu ne m'auras
En mon coeur tu resteras
Ma partie blanche me protégera
Mais un jour loin de chez moi
Un jour tu me rattraperas
Dans la nuit tu me plongeras
Dans les ténèbres tu m'enverras...
Seul et dernier rempart à ma défiance
Le seul fait de ton existence,
Toi ma soeur de sang,
Toi ma soeur libre au vent...


Zak été émue par ces mots, on ressentait l'émotion, malgré le silence qui entourait ses paroles.

- Eh Zak réveille toi!
Zak grommela face à cette voie grave et dure.
- J'y suis peut-être aller un peu fort, murmura la voie, au moins il n'a rien de casser...
Zak jura intérieurement, il ne voulait pas se réveiller, il entendait encore ces mots, comme une douce mélodie l'emportant dans un sommeil de paix.
La voie repris :
- Zak, réveille toi, ton ami Yezel est là, il s'inquiète pour toi.
Et Zak se réveilla la vision trouble…

(Sorry du double post, le texte était trop long...
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